Les plastiques ne disparaissent pas si vite
S’il y a des éléments dans la nature qui mettent beaucoup de temps à disparaître, ce sont les déchets en matière plastique. Les spécialistes sont unanimes à reconnaître que leur durée de vie varie entre 3 mois et 4000 ans. C’est pour cette raison qu’il est important non seulement de changer les comportements, mais d’adopter une politique concertée pour sauver notre environnement.
Les déchets non biodégradables rejetés sur la surface de la terre ont une durée de vie très longue. Les spécialistes ont reconnu après maintes études qu’ils peuvent résister aux aléas du temps sur une durée variant entre 3 mois à 4000 ans selon une classification établie. De ce point de vue, l’action humaine (tout individu ayant sa part de responsabilité) a fini par transformer notre environnement en dépotoir, en une poubelle où toutes les matières sont jetées sans contrôle ni législation. Du mouchoir en papier au briquet en plastique, en passant par les canettes en aluminium, aux allumettes et aux papiers de bonbon, tous ont un impact incalculable sur l’environnement et influent sur l’état de la nappe phréatique devenue imperméable.
Combien de temps ces objets mettent-ils à disparaître ? La réponse est de 3 mois à 4000 ans, selon la matière. Le mouchoir en papier met 3 mois pour disparaître. Le journal peut survivre 3 à 12 mois avant de disparaître, quand il aura fait le tour des étales de vendeurs de cacahuètes. Les peaux de bananes ou d’orange balancées à gré dans la rue résistent de 3 mois à 2 ans. Les fumeurs ne connaissent pas l’impact de leur geste machinal consistant à balancer leur mégot de cigarette à tout vent, ignorant par là qu’un mégot peut résister jusqu’à une période de cinq ans avant de disparaître. Les briquets en plastique qu’ils utilisent sont plus dangereux encore, ils résistent jusqu’à 100 ans ; de même les pneus en caoutchouc utilisés par les transporteurs résistent jusqu’à 100 ans.
Les papiers de bonbon et de chewing-gum que les jeunes femmes ont l’habitude de balancer avant même de sortir de la boutique. Ces petits papiers ont une longévité de vie de 5 ans. En même temps, les canettes de boisson en aluminium résistent de 100 à 500 ans, ainsi que les sacs, les gobelets et les bouteilles en plastiques qui peuvent atteindre 1000 ans. Si donc une boîte de conserve peut résister au temps pour une durée de 200 à 500 ans, un sac en plastique survit jusqu’à 450 ans. Les cartes téléphoniques (1000 ans de résistance) et les bouteilles de verre (4000 ans) sont les plus dangereuses d’entre toutes.
Il est ainsi évident que les matières plastiques et les matériels connexes ne disparaissent pas si vite dans la nature, et constituent un facteur de dégradation de l’environnement. Cette situation alarmante nécessite des changements dans les comportements, mais il faut un système de législation fort et concerté à la base pour trouver une solution idoine.
S’il y a des éléments dans la nature qui mettent beaucoup de temps à disparaître, ce sont les déchets en matière plastique. Les spécialistes sont unanimes à reconnaître que leur durée de vie varie entre 3 mois et 4000 ans. C’est pour cette raison qu’il est important non seulement de changer les comportements, mais d’adopter une politique concertée pour sauver notre environnement.
Les déchets non biodégradables rejetés sur la surface de la terre ont une durée de vie très longue. Les spécialistes ont reconnu après maintes études qu’ils peuvent résister aux aléas du temps sur une durée variant entre 3 mois à 4000 ans selon une classification établie. De ce point de vue, l’action humaine (tout individu ayant sa part de responsabilité) a fini par transformer notre environnement en dépotoir, en une poubelle où toutes les matières sont jetées sans contrôle ni législation. Du mouchoir en papier au briquet en plastique, en passant par les canettes en aluminium, aux allumettes et aux papiers de bonbon, tous ont un impact incalculable sur l’environnement et influent sur l’état de la nappe phréatique devenue imperméable.
Combien de temps ces objets mettent-ils à disparaître ? La réponse est de 3 mois à 4000 ans, selon la matière. Le mouchoir en papier met 3 mois pour disparaître. Le journal peut survivre 3 à 12 mois avant de disparaître, quand il aura fait le tour des étales de vendeurs de cacahuètes. Les peaux de bananes ou d’orange balancées à gré dans la rue résistent de 3 mois à 2 ans. Les fumeurs ne connaissent pas l’impact de leur geste machinal consistant à balancer leur mégot de cigarette à tout vent, ignorant par là qu’un mégot peut résister jusqu’à une période de cinq ans avant de disparaître. Les briquets en plastique qu’ils utilisent sont plus dangereux encore, ils résistent jusqu’à 100 ans ; de même les pneus en caoutchouc utilisés par les transporteurs résistent jusqu’à 100 ans.
Les papiers de bonbon et de chewing-gum que les jeunes femmes ont l’habitude de balancer avant même de sortir de la boutique. Ces petits papiers ont une longévité de vie de 5 ans. En même temps, les canettes de boisson en aluminium résistent de 100 à 500 ans, ainsi que les sacs, les gobelets et les bouteilles en plastiques qui peuvent atteindre 1000 ans. Si donc une boîte de conserve peut résister au temps pour une durée de 200 à 500 ans, un sac en plastique survit jusqu’à 450 ans. Les cartes téléphoniques (1000 ans de résistance) et les bouteilles de verre (4000 ans) sont les plus dangereuses d’entre toutes.
Il est ainsi évident que les matières plastiques et les matériels connexes ne disparaissent pas si vite dans la nature, et constituent un facteur de dégradation de l’environnement. Cette situation alarmante nécessite des changements dans les comportements, mais il faut un système de législation fort et concerté à la base pour trouver une solution idoine.
Chérif FAYE
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